• Petite anecdote.... Allan m'a dit un truc l'autre jour... qui aurait certainement vexé ou mis en colère certains parents d'enfants "dit normaux", mais moi, j'ai adoré ! smiley

    Allan me réclamait un dessin animé. J'ai refusé car en ce moment il regarde trop la télé et ça devient très envahissant. Il a donc insisté, insisté... comme il sait si bien faire smiley

    J'ai donc dit "non", à plusieurs reprises et je suis allée dans une autre pièce. Quelques minutes après, il m'a rejoint dans la cuisine, m'a regardé droit dans les yeux et m'a dit : "tu n'es pas gentille !!"

    J'ai halluciné.......... surprise


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  • Allan a finit son plat et passe donc au dessert. Je vais lui chercher son yaourt et je me rends compte qu'il n'y a plus de petites cuillères propres ; j'ai la flemme d'en laver une donc je lui donne à la place une grande cuillère. Comme ça lui arrive quelques fois d'en prendre une grande à la place d'une petite je me dis que ça ne va pas le déranger.

    Je lui apporte donc son yaourt et sa cuillère quelques secondes après, il se met à râler, à chouiner.... Sur le coup je ne comprends pas du tout pourquoi et je lui demande ce qu'il veut. Il s'énerve de plus en plus donc je lui demande de se calmer et de me dire ce qu'il veut. Alors, soudain il s'arrête et je vois qu'il se met vraiment à réfléchir puis il me regarde et dit : "je veux le bébé cuillère !!!!"

    J'ai trouvé ça absolument excellent !!!!!! Allan ne sachant pas dire "petite cuillère" a tout simplement trouvé un moyen très clair de s'exprimer différemment en se faisant parfaitement bien comprendre. J'ai adoré l'expression smiley !


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  • Le Point.fr - Publié le 12/06/2012 à 09:22 - Modifié le 12/06/2012 à 09:49

    Des résidus de psychotropes présents dans l'eau du robinet pourraient être responsables du déclenchement de la maladie.

    Photo d'illustration

    Prendre des antidépresseurs durant la grossesse multiplierait par quatre les risques d'autisme chez les enfants. Partant de cette récente étude, des chercheurs américains ont voulu savoir si les très faibles concentrations de psychotropes retrouvés dans l'eau potable pouvaient aussi affecter le développement du foetus. Ils ont ainsi soumis des poissons d'eau douce à un mélange d'anti-épileptiques et d'antidépresseurs courants à de très faibles doses (Prozac et Effexor). À l'issue de l'expérience, ils ont constaté que pas moins de 324 gènes, associés à l'autisme humain, étaient altérés par ces petites doses de médicaments ! Les poissons exposés aux antidépresseurs avaient aussi tendance à paniquer et se comportaient différemment des poissons témoins non exposés.

    En France, 25 % de l'eau du robinet contient des résidus de médicaments

    La France reste l'un des plus gros producteurs de médicaments en Europe et 20 millions de Français consomment des antidépresseurs. Il était donc logique que l'Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire) réalise une vaste enquête pour faire le point sur la présence de résidus de médicaments dans l'eau. Les chiffres sont édifiants et montrent que 25 % des eaux analysées contiennent des traces de médicaments. Les psychotropes sont très nettement présents avec notamment la carbamazépine, molécule utilisée pour traiter l'épilepsie et la régulation de l'humeur, dont la France produit 40 tonnes par an ! Un peu anxieux ? Vous pourrez aussi trouver votre remède dans l'eau courante avec l'oxazépam, une molécule utilisée dans des anxiolytiques commercialisés sous les noms de Seresta® ou Sigacalm® et Serax®) ! Mais comment ces charmantes molécules arrivent-elles jusqu'à notre robinet ? Tout simplement via les urines ou les selles humaines évacuées dans les eaux domestiques ou à travers les rejets de l'industrie chimique et pharmaceutique ou encore les hôpitaux (qui sont paradoxalement la source la plus importante de pollution). Malheureusement, les stations de traitement ne sont souvent pas assez efficaces pour l'élimination totale de ces résidus. Aujourd'hui, les femmes enceintes ont donc tout intérêt a être prudentes dans le choix de leur boisson en se renseignant sur la qualité de l'eau dans leur région, en optant pour des systèmes de filtres efficaces ou en choisissant une eau en bouteille (idéalement sous verre en raison des polluants présents dans le plastique).

    L'autisme, nouvelle maladie de la pollution ?

    Les cas d'autisme et les troubles du comportement de l'enfant ne cessent d'inquiéter. Combien sont réellement touchés ? Difficile d'avoir une estimation exacte car les critères d'évaluation varient d'un pays à l'autre. Alors qu'en France on évoque une prévalence de l'autisme chez 2 enfants sur 1 000, aux États-Unis ce serait 1 enfant sur 100, tandis que les Coréens évoquent même un enfant sur 38 ! Une chose est certaine, l'ampleur de la maladie devient inquiétante et les cas auraient été multipliés par trente entre 1980 et 2000 aux États-Unis et en Grande-Bretagne. Cette maladie débute vers l'âge de deux ans avec une absence ou un retard du développement du langage parlé, avec souvent des mouvements répétitifs, une absence de contact visuel et un isolement social. Plus largement, les troubles du comportement de l'enfant englobent aussi l'hyperactivité, la dysphasie, la dyslexie, l'épilepsie, l'anorexie, la boulimie, les troubles obsessionnels compulsifs. Si les études se multiplient pour mieux comprendre l'autisme, celles pointant du doigt des causes environnementales sont de plus en plus nombreuses : pesticides, mercure, dioxines, PCB, vaccination sont ainsi tour à tour évoqués. L'explosion des cas d'autisme coïncide étrangement avec la montée en flèche de la pollution environnementale. L'autisme pourrait bien être finalement une maladie de notre siècle. Et sans doute une maladie environnementale.


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  • Petite anecdote marrante. Hier Allan 'était contrarié. Il est alors venu me voir, m'a montré avec son doigt son oeil gauche et a dit : "celui-là pleure !" laugh Mort de rire !


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